Bagatelles pour un massacre
Résumé et articulations du pamphlet

    (Pages 11 à 55) Ferdinand discute avec Léo Gutman du raffinement, lui expose les projets de ballets qu'on lui a refusé pour l'Exposition Universelle de 1937 (La naissance d'une fée et Voyou Paul. Brave Virginie). Ferdinand impute ce refus aux juifs. Retour en arrière : Ferdinand évoque son voyage en URSS, pays dirigé par les juifs.

   (Pages 56 à 85) Il se rend à Montmartre pour voir Popol et le rallier à la cause anti-juive, puis à Bezons pour faire de même avec son cousin Gustin Sabayote. Les deux refusent. Ferdinand expose le pouvoir juif en France, se souvient de son enfance et de la pauvreté, prône un communisme différent de celui instauré en URSS.

    (Pages 86 à 116) Pour Ferdinand, les juifs poussent à la guerre. Lors de son passage à la SDN, il a assisté à la façon dont Yubelblat, son supérieur, imposait incidieusement ses idées.

   (Pages 116 à 204) La France est totalement aux mains des juifs. S'en suit une énumération d'exemples liés au milieu littéraire : l'Exposition Universelle, la littérature, la critique littéraire, le marché du livre...

   (Pages 204 à 250) Le cinéma et le théâtre sont également sous l'emprise juive : L'exemple d'Hollywood.

   (Pages 251 à 308) Nombreuses citations, "empruntées" à la littérature et à la presse juives. Ces citations servent d'assise pour démontrer la volonté sémite de dominer le monde. Céline pressent qu'il sera assassiné par les juifs.

    (Pages 309 à 331) Conversation avec Gustin, qui ne partage pas les opinions de Ferdinand. Tour à tour sont évoqués les thèmes de la race, l'enjuivement, la guerre, la sexualité. Pour divertir son public, Ferdinand va conclure son pamphlet sous forme de guide de voyage.

   (Pages 332 à 379) Retour en URSS, à Leningrad. Ferdinand évoque Nathalie, sa guide. Il propose le ballet La naissance d'une fée aux responsables du Marinski, théâtre russe, qui refusent. Brouille avec Nathalie. Transcription du ballet Van Bagaden.

    " Mais la fête à présent monte... enfle... submerge tout le quai... tout l'espace !... tous les échos !...
    Le pauvre Peter, tout éperdu, avec son bâton, se démène tout seul contre toute cette foule... contre toute cette joie, cette folie... l'immense farandole........"