Casse-pipe

Résumé du fragment publié

 

    Ferdinand arrive dans le corps de garde et fait la connaissance du brigadier Le Meheu et du maréchal des logis Rancotte. Ils partent ensuite relever une sentinelle. Le Meheu s'aperçoit que ni lui ni ses hommes ne se souviennent du mot de passe. Le brigadier retourne au poste tandis que ses hommes vont se cacher dans une écurie sous la conduite de Keriben.
    A l'écurie, L'Arcille, le garde, se plaint de la disparition de chevaux. Il commente l'arrivée de Ferdinand, part ramasser du crottin. Serrés les uns contre les autres, les hommes étouffent à cause du crottin versé par L'Arcille. Peu à peu, les hommes se mettent à boire, et Le Meheu reparaît, ivre lui aussi. L'Arcille revient avec des bouteilles et Rancotte le menace de sanctions.
    De retour devant le poste, Rancotte fait l'appel, s'aperçoit que l'homme de faction à la poudrière n'a pas été remplacé depuis la veille au soir. Le Meheu avoue la perte du mot de passe et tente de s'en souvenir. Il réclame son planton qui, au cours d'une crise d'épilepsie, lance un nom de fleur, "marguerite". Le Meheu pense qu'il s'agit du mot de passe.
    Vient le moment du réveil, Ferdinand est affecté à l'escouade de Le Meheu. Il apprend l'équitation. Un tableau présente des hommes en train de nettoyer la chambrée et la préparation des revues de détail :

" Alors tout autour de nous il a sorti comme des yeux... des choses dans la brume... des mille fenêtres... à vous regarder... des reflets je crois... des reflets... Il faisait presque jour à présent. Ça palissait d'en haut... des toits et tout le quartier... les murs... la chaux...
    Karvic a rallié en vitesse, il secouait sa musique en courant, pour la bave, les gouttes. "